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Générale

Jean-Paul Sinanian, réélu pour un troisième mandat !

17/12/2020

Publié par jérémie picart

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© © Kozoom
Troisième mandat consécutif pour Jean-Paul Sinanian, Président de la FFB réélu le 12 décembre 2020

L’Assemblée générale élective de la Fédération française de billard s’est déroulée le 12 décembre en visioconférence en raison de la crise sanitaire. Les délégués des ligues devaient notamment désigner les 26 membres du Comité directeur pour la prochaine olympiade 2021/2024. Les résultats ont de quoi surprendre, la moitié du Comité directeur reste en place, l’autre moitié est constituée de nouveaux entrants. Président depuis 2012, Jean-Paul Sinanian est reconduit dans ses fonctions pour une troisième olympiade, il a bien voulu répondre aux questions de Kozoom trois jours après cette Assemblée générale inédite.

 

Jérémie Picart/Kozoom : Bonjour Jean-Paul Sinanian, pourriez-vous vous présenter et nous parler de votre expérience au sein de la Fédération française de billard ?

 

Jean-Paul Sinanian : Bonjour Jérémie, je viens de fêter mes 61 ans, je suis médecin généraliste à Marseille depuis 1992. J’ai été élu pour la première fois de mémoire à la Fédération en août 1996 en tant que médecin fédéral. Je suis devenu Secrétaire général en 2008, Président adjoint en 2010 puis Président en décembre 2012.

 

JP/Kozoom : Comment s’est déroulée l’Assemblée générale élective du 12 décembre dans ce contexte si particulier qu’est le distanciel ?

 

JPS : Cette date était fixée depuis longtemps, elle devait se dérouler à Valence en présentiel et face à la crise sanitaire, nous avions deux possibilités, soit reporter cette date et donc les élections au printemps voire plus tard, soit l’organiser sous forme de visioconférence. Ça nous paraissait faisable de nos jours et nous pouvions garantir la validité du vote grâce au prestataire de service Légavote qui nous assurait la légalité du vote et son bon déroulement. Il y avait 34 candidats pour 26 postes à pourvoir et en début d’après-midi, nous avions la liste des élus et celle des battus. Comme lors de la dernière assemblée élective, nous nous sommes retirés dans une salle virtuelle à part et nous avons procédé au choix d’un(e) Trésorier(e) ce qui se fait pour éviter d’avoir une rupture de la continuité de gestion. Viviane Rouchon a été choisie. Puis le Comité a proposé un Président et j’ai été désigné. Nous sommes ensuite retournés en Assemblée générale qui a confirmé ce vote à une majorité de 75%.

 

JP/Kozoom : Quel est votre ressenti après cette élection ? Y a-t-il eu des surprises ?

 

JPS : Alors oui. Déjà, le nombre de candidats était supérieur au nombre de postes à pourvoir. Aussi parce que la loi impose 25% de l’effectif total réservé aux femmes soit 7 postes, un médecin plus un représentant parmi les 4 disciplines fédérales (Carambole, Blackball, Américain et Snooker) soit 12 postes « réservés ». Le jeu de ces obligations de places réservées a desservi deux personnages centraux des précédentes olympiades à savoir Claude Schaffran (Trésorier adjoint et responsable de la commission informatique) et Jean-Pierre Guiraud (Président adjoint depuis de nombreuses années). Ils ont été battus par des candidates qui avaient moins de voix mais qui sont repassées devant par cette mécanique des places réservées les faisant glisser vers la sortie.

 

JP/Kozoom : On comprend qu’ils aient été défavorisés par cette mesure, il n’en reste pas moins qu’ils se sont retrouvés en ballotage défavorable avant ces circonstances. Qu’est-ce qui explique que des personnes en qui vous aviez une totale confiance et qui travaillaient bien se sont retrouvés dans cette situation par rapport à de nouveaux postulants qui n’ont encore jamais fait leurs preuves jusqu'à présent ? Est-ce une volonté de dégagisme ?

 

JPS : Si j’osais, je dirais qu’il y a toujours ce réflexe bien français de voter contre des gens plutôt que pour un projet. Donc en effet, des personnes qui ont œuvré durant des années et qui ont notamment travaillé ces deux ou trois dernières années d’arrache-pied se sont retrouvés dans des situations où ils ne faisaient pas l’unanimité. Moins on est connu et plus les gens ont tendance à aller vers vous et donc ceux qui étaient dans l’action, notamment la campagne Billard 2024 et la réfection totale du nouveau logiciel de gestion des compétitions carambole amené à remplacer FFBSportif, se sont retrouvés en difficulté.

 

JP/Kozoom : Il s’agissait donc de votes sanction ?

 

JPS : Quelque part, j’ai tendance à l’analyser de cette façon parce que nous n’avons probablement pas su expliquer leurs rôles et quelle était l’importance et la difficulté du travail accompli. Je pense que les gens ont de plus en plus envie de voir de nouvelles têtes et en effet, il s’agissait vraisemblablement de votes sanction. Pas forcément contre les personnes mais plus contre l’équipe sortante. Quand on regarde les scores de ceux qui avaient décidé de se représenter, ils sont relativement bas comparés à ceux des nouveaux arrivants, que je félicite pour leur motivation à vouloir participer activement à la vie fédérale et au développement du billard.

 

JP/Kozoom : Donc par rapport au précédent Comité directeur, combien  y a-t-il de sortants hormis les deux personnes emblématiques citées précédemment ?

 

JPS : Sur les 26 membres, de mémoire, 13 sont nouveaux soit 50% du Comité directeur renouvelé.

 

JP/Kozoom : Ces chiffres sont-ils inédits ?

 

JPS : Non parce qu’en 2013, je pense que le renouvellement était également important quand on s’était présenté avec notre projet. Il est prévu dans les statuts que l’élection du comité directeur n’est pas un scrutin de liste mais un scrutin nominal. Et je n’ai pas voulu rééditer l’expérience de 2012, je n’ai pas voulu bâtir une liste alors que j’avais le projet en tête, j’ai souhaité faire les choses selon les textes statutaires, c’était peut-être une erreur.

 

JP/Kozoom : Parmi les treize sortants, y avait-il des personnes qui ne se représentaient pas ?

 

JPS : Beaucoup oui, la majorité d’entre eux ne se représentaient pas. Les principaux qu’il me tient à cœur de remercier sont le secrétaire général Philippe Zwaenepoel qui était revenu à ma demande en 2018, François Pouilhe qui a œuvré au développement tout au long de cette mandature, Gérald Mathias qui a promis de conserver un lien avec le secrétariat fédéral, Laurent Goodwin qui avait eu la lourde charge de reprendre la commission d’Américain. Je remercie également les deux personnes citées précédemment et dont le mandat n’a pas été renouvelé, Claude Schaffran qui s’était attaqué à un chantier que tout le monde refusait, il s’agissait de la remise à niveau de FFBSportif malgré le peu d’aide apportée par ses prédécesseurs. Le logiciel remplaçant de FFBSportif (18 ans de service) a pris un peu de retard en raison de la crise. Il devrait être opérationnel pour le début des compétitions. Les difficultés liées à sa mise en service ont peut-être desservi Claude Schaffran, pure supposition. Et le dernier qui mérite mes remerciements et je sais qu’il continuera à œuvrer au niveau européen puisqu’il est secrétaire général de la CEB, c’est Jean-Pierre Guiraud. Lui aussi, ce qui a visiblement marqué les esprits, c’est la campagne Billard 2024 sur laquelle on pourra peut-être revenir tout à l’heure mais qui, pour moi, a été une formidable opération médiatique pour tout notre sport, préparée et menée avec brio par Jean-Pierre Guiraud et Eric Vaquier. Ce dernier ne s’est d’ailleurs pas représenté afin de consacrer son temps à travailler aux côtés de la DTN et notamment auprès des jeunes au billard à poches. Il y en a deux ou trois autres comme notamment Paul Dal Cortivo qui ne se sont pas représentés en plus des gens qui nous ont quittés en cours de mandature. Alors pourquoi autant de démissions en cours de mandat ? Je crois que lorsque l’on est bénévole, il n’y a pas de lien hiérarchique ou de subordination et quand il y a des divergences d’opinion, soit on cède au chantage et à la démission soit on laisse partir ceux qui ne sont pas d’accord. Ils mettent leur démission dans la balance et finissent par s’exécuter. C’est ce qui s’est passé dans la plupart des cas : Eric Leroux, Jean-Paul Boudoux, Jérôme Desroziers et Stéphanie Giron. Ils sont de ceux-là et je tenais aussi à les remercier.

 

JP/Kozoom : Après ces deux olympiades à la tête de la Fédération, quel est le bilan ? Repartez-vous avec le même enthousiasme pour cette troisième mandature ou ressentez-vous de la lassitude considérant que vous ne retirez aucun avantage à titre personnel et notamment professionnel à vous réinvestir au niveau fédéral ?

 

JPS : Ce qui me motive et continue à me motiver, c’est la passion et les perspectives. Quand je suis arrivé en 2012, j’étais naïvement persuadé de pouvoir renverser la table et changer la Fédération de fond en comble en deux ou trois saisons. Ce qui ressort de cette expérience, c’est que ce n’est pas si simple que ça. Au niveau national, on peut agir effectivement mais l’on doit le faire en collaboration avec les organes décentralisés que sont les ligues. Il faut parvenir à toucher directement les clubs et les licenciés et je ne suis pas sûr que l’on ait réussi à communiquer suffisamment et à expliquer ce que l’on souhaitait mettre en oeuvre pour arriver à les convaincre du bien-fondé de nos politiques successives.

 

JP/Kozoom : Cela signifie que lorsque vous avez débuté votre première olympiade, l’objectif se portait sur une refonte des relations entre la fédération et ses ligues ? Depuis, la réforme territoriale a impacté la structure même de ces ligues dans toutes les fédérations sportives. On sent qu’il y a un vrai décalage entre les aspirations des deux entités notamment concernant ce vote sanction.

 

JPS : On s’est attaché à recréer le lien avec les ligues, je pense que nous avons majoritairement réussi. C’est vrai que la réforme territoriale est venue impacter cette nouvelle donne en diminuant le nombre de ligues et donc d’interlocuteurs. C’est à double tranchant car chaque ligue représentant un nombre de voix et donc de licenciés, leur réduction pèse plus lourd en cas de désaccord. Mais aujourd’hui si l’on fait le bilan, 70% des ligues s’accordent à penser que le développement du billard passera par la professionnalisation avec notamment les ETR qui forment sur le terrain et qui expliquent aux gens l’orientation fédérale. On a essayé de développer cela durant huit ans à la fois vers les ligues et les clubs. Le résultat est visible aujourd’hui avec les clubs qui souffrent et vers lesquels la Fédération porte une attention toute particulière en leur apportant son aide.

 

JP/Kozoom : Cela signifie concrètement qu’il existe un support financier de la Fédération en direction de ces clubs ?

 

JPS : Absolument grâce au dossier « Résilience Covid », les clubs sont invités, via les ligues ou directement, à constituer un dossier expliquant leurs difficultés en apportant les éléments financiers. Une commission composée de six membres se penche sur les dossiers de ces clubs, tous devant acquitter la location de leur salle de billard, tout en étant privés de recettes en raison du confinement, comme par exemple le club de Dijon ou encore celui de Belfort de Freddy Hatuel en Bourgogne-Franche-Comté. Quand ils appellent à l’aide, nous venons à la rescousse et je pense que ces clubs sont assez satisfaits du service rendu mais il y a aussi beaucoup de ligues qui font ce travail et qui les dirigent vers la Fédération.

 

JP/Kozoom : Et quel est le poids face aux quelques personnes qui se plaignent sur les réseaux sociaux avec des posts du style « Rembourser la licence », qui considèrent la licence comme un produit comme les autres ?

 

JPS : La problématique de la licence est importante en effet car les gens confondent licence et cotisation club. La licence n’est pas un ticket permettant d’avoir droit à une prestation de service. Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas d’activité que l’on peut être remboursé de la licence. La licence est une cotisation d’appartenance à un système mutualiste. Quand vous n’avez pas d’accident, vous n’êtes pas en droit d’être remboursé de votre cotisation d’assurance auto. Je ne suis pas sûr que la majorité des gens ait ce réflexe. Si l’on remboursait au prorata une partie de la licence, cela représenterait environ 10 euros. Cela coûterait très cher à la Fédération, cela mettrait en danger les dossiers en cours dont celui de la résilience, cela freinerait les efforts de reprise d’après-crise et pour le licencié, 10 euros sur une année ne va pas changer grand-chose. D’où ces mesures d’aide demandées aux ligues auprès des clubs en difficulté ou aux clubs bien portants en réduisant le coût des cotisations club.

 

JP/Kozoom : Concrètement, quelle baisse de licenciés prévoyez-vous pour septembre 2021 ? La Fédération peut-elle retrouver son niveau de licenciés d’avant la crise ?

 

JPS : C’est le challenge que nous nous sommes fixé. Suite à la campagne Billard 2024 initiée sur la saison 2018/2019, l’exercice 2019/2020 devait être la concrétisation de tous les efforts que nous avions consentis en dépit du confinement de mars. A ce moment, nous avons battu le record de ces 20 dernières années avec 16192 licenciés (environ 12000 pour le Carambole, 3500 pour le Blackball, 600 pour l’Américain et 350 pour le Snooker). Le deuxième confinement a coupé net cet élan et nous sommes aujourd’hui à environ 12000 licenciés d’où l’importance d’accentuer nos efforts en vue de la reprise, je pense aussi aux clubs qui n’ont pas souhaité s’affilier ne croyant pas à une reprise proche. C’est aujourd’hui qu’il convient de soutenir son club en se licenciant car si faillite il y avait, ce serait trop tard ensuite.

 

JP/Kozoom : La structure associative ou municipale des clubs les protègent-ils de facto de cette crise ?

 

JPS : Sur 600 clubs, 400 sont des salles municipales, le reste sont des clubs privés. Heureusement, la bonne gestion des dirigeants de ces clubs fait que la plupart des clubs municipaux ne seront pas trop impactés par la crise hormis peut-être pour les personnes âgées qui seront certainement plus frileuses à revenir. Dans mon club par exemple, les personnes de plus de 75 ans préfèrent attendre des conditions plus saines. L’avantage que nous avons dans notre Fédération est l’aide financière apportée au déroulement de certaines compétitions, ce n’est pas le cas au sein des autres fédérations sportives. Avec moins de compétitions jouées, cela contribue à supporter la trésorerie disponible. Les récents liens créés avec le CNOSF nous permettent aujourd’hui de pouvoir compter sur leur aide financière, cela représente 30000 euros reçus pour soutenir nos activités et principalement les clubs en difficulté.

 

JP/Kozoom : Votre relation privilégiée en tant que marseillais avec le Président du CNOSF a-t-elle contribué à obtenir cette aide ?

 

JPS : (Rires)… Nous avons juste fait l’effort d’être présents à toutes les réunions du CNOSF et à force d’être présents, on gagne en notoriété et les gens sont plus enclins à vous aider quand ils vous connaissent et à vous faire confiance quand vous leur exprimez vos difficultés.

 

JP/Kozoom : Alors, il ne devrait pas se passer grand-chose avant le printemps, quels sont vos objectifs pour cette fin de saison notamment envers les compétitions ?

 

JPS : Nos objectifs et nos choix se sont portés sur l’attente jusqu’au dernier moment avant de chambouler notre calendrier afin de laisser une chance aux compétitions de se jouer en fonction de l’évolution des mesures gouvernementales. Si l’on avait écouté certains, on aurait tout annulé.

 

JP/Kozoom : Si l’on devait résumer l’objectif principal pour l’olympiade qui commence, si vous aviez une baguette magique, quel usage en feriez-vous ?

 

JPS : Si j’avais une chose à accomplir avant de rendre les clés à la Fédération, ce serait de la mettre à l’abri pour le futur. Avoir une gouvernance plus saine, plus démocratique car le système qui régit la Fédération à l’heure actuelle est un système de grands électeurs avec les défauts que l’on a pu voir lors d’élections très médiatisées comme aux Etats-Unis. Difficile à comprendre et je ne suis pas sûr que ça intéresse ni les licenciés ni les clubs. Donc pour pallier à ça, je crois qu’il faudrait revoir nos statuts et notre gouvernance en introduisant une proportion de démocratie un peu plus importante et donner la parole à une part de vote direct aux clubs ou aux licenciés. Ensuite le système de vote actuel nominal est malsain et il serait sans doute plus efficace d’avoir des scrutins de liste. Mon intention est de demander à la commission administrative qui sera désignée en janvier prochain de réfléchir à tout ça de manière réaliste financièrement et techniquement. J’ai le sentiment que les gens se désintéressent de la vie fédérale parce qu’ils ont du mal à suivre ce qu’il se passe. C’est d’ailleurs les recommandations faites par le CNOSF et le ministère afin de conserver les agréments et l’appellation « Sport de haut-niveau » confié à la DTN.

 

JP/Kozoom : Mais si je comprends bien, donner le droit de vote aux clubs reviendrait aux dirigeants de ligue de se tirer une balle dans le pied pour leur propre pouvoir. C’est un peu comme demander aux sénateurs de voter pour la diminution de leurs retraites. N’y a-t-il pas peu de chances que ça passe ?

 

JPS : Oui sauf que maintenant, il y a vraiment une pression du ministère et du CNOSF ce qui est déjà un argument de motivation. On a la chance d’avoir des structures déconcentrées qui comprennent l’importance du développement et si l’on parvient à convaincre les clubs et les ligues en majorité d’aller en ce sens, on est capable de réaliser ce tour de force afin que les ligues votent pour aller vers plus de démocratie. J’en suis persuadé.

 

JP/Kozoom : Pour finir sur une note plus légère, pour coller à l’actualité et puisque vous êtes marseillais, j’espère que vous n’avez pas l’intention de céder la présidence à votre 1er adjoint dans les 6 mois à venir ?

 

JPS : (Rires)… Je l’ai appris aujourd’hui en effet que la Maire de Marseille, Mme Rubirola, avait des problèmes de santé parait-il. Je considère en effet que c’est une manière de trahir les résultats de l’élection et que c’est faire peu de cas des votes qui l’ont élue à titre personnel. Plus sérieusement, si je me suis présenté, c’est dans l’intention d’aller au terme de mon mandat dans l’espoir de transformer l’essai que j’ai évoqué. J’ai le sentiment d’avoir été freiné par le COVID. Ma motivation, malgré les difficultés, est d’avoir une équipe particulièrement soudée et efficace et que l’on assure la pérennité de la Fédération. On a des perspectives énormes qui sont offertes avec notamment le partenariat avec Decathlon, dont JP.Guiraud était l’initiateur et le coordonnateur. Decathlon qui a fait l’effort de mettre à notre disposition des outils propices au développement afin de redonner de la visibilité à notre sport, sans oublier tous les outils de communication dont ils disposent. Preuve en est que d’autres grandes enseignes (Darty, But, Go Sport, Celio, ManoMano) se mettent à vendre des billards ce qui n’était pas le cas auparavant. Cela permet assurément de réaliser l’objectif d’un nombre de licenciés grandissant.


JP/Kozoom : Merci Jean-Paul pour cette heure passée avec moi pour Kozoom et bonnes fêtes de fin d’année !

 

                               

 

                                               Jean-Paul Sinanian (© L'Yonne Républicaine)

 

Comité directeur FFB :

 

Jean-Jacques Bodin, Alberto Casale, Maxime Cassis, Sophie Cloud, Dominique Corvaisier, Marcel Dejardin, Thierry Deléglise, Dominique Delgove, Eric Dorizon, Laetitia Droit, Florence Gaillet, Hervé Gavlak, Renaud Gouzien, Hervé Lacombe, David Lecomte, Serge Lecroart, Mélanie Mangot, Isabelle Mortreux, Sylvain Perrier, Delphine Pizzinat, Pierre Reynaert, Viviane Rouchon, Pierre Sarian, Jean-Paul Sinanian, Christian Solanes, Jigar Solanki.


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